Costa Rica
 

Lundi 22 avril

 

Assis  confortablement dans le hall de l’aéroport, terminal 2E, porte 10, en attendant de passer la douane et d’aller attendre à l’embarquement K37, il nous reste à liquider le pique-nique que  nous avons pris et de passer les contrôles. Tout un programme.
Pour l’instant, tout va bien.
Oubliés les voisins et leurs tracasseries toxiques (on les retrouvera bien assez tôt), oubliés les -2°C du départ, oublié le voyage en voiture et son bouchon à 600 m du parking, oubliées les valises trop remplies, oublié l’enregistrement des bagages (on le fait tout seul, maintenant, et comme nous sommes doués, nous n’avons eu besoin que de trois personnes pour nous aider …), oubliés la confirmation de la réservation sur Internet et le choix des places.
Tout va bien, plus que 11h et demie d’avion pour connaître la pluie chaude de San José.
Voyage long, mais pas trop pénible. J’essaie d’échanger en Anglais avec mon voisin mais il me dt que son Français est réduit au maximum, sans doute autant que mon Anglais … Trois films entrecoupés de sudoku et de siestes. Arrivée à 16h58 heure locale. Il pleut à l’atterrissage, et il fait très chaud. Nous faisons la connaissance d’Alessandro, notre guide pour toute la durée du voyage et d’Eli, notre chauffeur.
La polaire est vite écartée et je profite du car pour faire un strip-tease et retirer mon maillot en mérinos. C’était bien en France avec -20°C, c’est moins bien au Costa Rica avec +23°C.

Bon, le mot est lâché : nous sommes partis au Costa Rica, premier grand voyage depuis 4 ans, depuis le Covid.

Nous traversons San José de nuit, la ville ressemble à une ville sud-américaine. Normal … On est mort en entrant à l’hôtel, mais je ressors acheter une bouteille d’eau dans un bui-bui ouvert 24h/24. Comme je n’ai pas encore de colones, je propose de payer en dollars. Le marchand accepte et se prend une commission de 30% … hello, Gringo !

 

 
   

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