Samedi 17 janvier 2015.

 

Tout est prêt. Nous sommes dans le bon aéroport, au bon terminal, à la bonne date. Nous avons déposé nos valises à l’enregistrement. Il ne nous reste plus qu’à passer la douane et à embarquer dans le plus grand avion du monde, l’A380 ! Nous sommes zen, dans à peine vingt heures, nous serons à destination, alors il n’y a plus qu’à attendre.

21h30, heure française, 23h30 heure qatari : après six heures de vol, nous quittons notre A380 et nous nous précipitons vers le tableau des vols à l’aéroport de Doha. D’après nos billets, nous n’avons que ¾ d’heure pour embarquer et les mauvais souvenirs de l’escale à Madrid (voyage au Pérou) nous reviennent à l’esprit : il avait fallu courir sans même relacer nos chaussures pour traverser l’aéroport … En réalité, ici, pas de soucis. Zen. D’abord le vol est prévu une heure plus tard et, en outre, la porte d’embarquement est toute proche, alors nous avons le temps de boire un cappuccino (9 € les deux tord boyaux ! ... nous sommes dans un aéroport) et même de commencer à lier connaissance avec six touristes de Poitiers. La fin du voyage est sans histoire, trois heures d’avion en réussissant à dormir ½ heure … et nous arrivons dans un brouillard à couper au couteau.

page précédente

 

page suivante