Dimanche 18 janvier 2015. Delhi. |
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Bon, pas de réveil et pas de lever puisqu’on sort de l’avion à 7h30, heure locale. Après les formalités d’usage à la douane (on remplit quand même trois formulaires différents avec des questions pratiquement identiques …. et que les fonctionnaires ne lisent pas), nous sortons de l’aéroport pour retrouver la personne de Jet tour qui nous attend pour aller retrouver le reste du groupe arrivé la veille en vol direct d’Air France (oui, il arrive que les vols d’Air France partent). Nous « petit déjeunons » dans un hôtel puis partons à la découverte de New Delhi, mégapole de quinze millions d’habitants. Les Indiens se préparent à fêter la fête de l'Indépendance en présence de Barack Obama, l'effervescence est donc à son comble. |
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D’abord le palais présidentiel et la porte de l’Inde, construits par les Anglais au début du XXe siècle, puis le temple sikh Gurudwara BanglaSahib, que nous visitons pieds nus. C’est un temple tout blanc, entouré d’une grande cour de marbre avec à côté, un lac sacré où les gens peuvent venir se purifier. (Bon, là, personne n’est dans l’eau car il fait relativement froid et de toute façon, le bassin est en réfection). De l’autre côté de la cour, une vaste cuisine où des bénévoles fabriquent et font cuire des pains pour les fidèles. Ce sont surtout les plus pauvres qui profitent de cette nourriture offerte au nom du dieu. Toutes les personnes que nous rencontrons sont souriantes et agréables. Toutes acceptent de se laisser photographier. Les Indiens sont vraiment un peuple sympathique et on n'a pas envie de leur voler dans les plumes ... |
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Nous prenons ensuite la route. Dire que la conduite des Indiens est surprenante est un doux euphémisme. Ils doublent, klaxonnent, prennent les intersections sans soucis véritable d’un quelconque code de la route. Et pourtant, ça se passe sans heurts car ce qu’ils respectent tous, c’est les autres conducteurs. Quand ils doublent et qu’un véhicule surgit en face, quelqu’un ralentit et l’accident est évité. Le klaxon ne sert pas à montrer sa mauvaise humeur comme en France ou son impatience comme au Pérou, non, les Indiens klaxonnent pour faire savoir où ils sont par rapport aux autres véhicules et ceux-ci en tiennent compte. Belle leçon de civisme. La route est longue, nous traversons de nombreux villages où les gens nous font un signe en passant. Renjeel, notre guide, nous donnent moult explications. Il est génial ! |
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A midi, au restaurant, nous tombons sur un mariage. Nous en profitons pour refaire encore de superbes portraits puis nous reprenons la route. Ce n’est qu’à la nuit tombée que nous arrivons à Mandawa, petite ville sur la branche indienne de la route de la soie. La soirée est consacrée à la réorganisation des sacs, puis à un sommeil réparateur. |
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