Turquie, le retour ...

Dimanche 19 février.

 


Même compagnie, mais quelques soucis avant le départ avec notamment quatre changements de dates (de début décembre à fin février, heureusement que les congés sont souples quand on est en retraite !)
Bref, on part quand même. Il fait beau et le soleil est également attendu sur place, ce qui était loin d’être assuré en cette saison.

Comme toujours, je prends des notes au jour le jour et j'essaie de changer le moins possible mon texte en rentrant, pour rendre compte le plus fidèlement possible du ressenti pendant le voyage.

L’arrivée à l’aéroport est sans histoire. On traverse les contrôles sans encombres. Tout baigne.
Trois heures de vol, ça donne le temps de me souvenir que je n’aime pas l’avion… Mais bon, il faut bien en passer par là.
Un grand ciel bleu nous accueille à Izmir. C’est Cléopâtre qui va être contente quand elle va sortir de mon sac !

Nous sommes dans le bus n°4. Notre guide a l’air sympa. Il n’y a pas trop d’ambiance pour l’instant : personne ne se connaît alors tout le monde joue les timides. Le guide nous rassure tout de suite quant à l’accueil des Turcs vis-à-vis des Français : les Turcs ne sont pas stupides, ils savent faire la différence entre la France et son président … j’espère que nous aussi, dans deux mois, nous saurons faire la différence, mais sommes-nous aussi sensés que les Turcs ?

Au lieu de rejoindre notre premier hôtel par l’autoroute, nous longeons le bord de mer par Gümüldür, c’est plus long mais on y gagne largement en paysage. Un verre de raki rend le bus un peu plus bruyant … les gens commencent à parler entre eux, à sympathiser. Et on voudrait me faire croire que l’alcool est mauvais pour nous ?

L’hôtel est très luxueux (en temps normal, la chambre est à 260 $ …, plus que notre voyage complet). Les chambres occupent un flanc de colline sur 8 niveaux en terrasses, face à la mer. Un énorme hall sur 5 étages regroupe dans le même espace l’accueil, le restaurant, le spa, la salle de musculation, le piano bar, le cybercafé, des magasins et, tout en bas, noyée dans la végétation, une piscine, le tout relié par des escaliers formant un véritable labyrinthe. Des oiseaux agrémentent l'espace de leurs chants. Le restaurant est à la hauteur de l’hôtel … et la nourriture est d’autant plus appréciée qu’on a sauté le repas de midi car ce n’est pas le sandwich servi dans l’avion qui nous a calé l’estomac ! ni réjoui les papilles d'ailleurs. 

   
     

En Orange, les principales étapes de ce voyage-ci, sur les côtes de la mer Égée.
En bleu, les principales étapes du voyage de l'an dernier, en Cappadoce.

 

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