Sur les crêtes du Haut-Jura. Le massif des Tuffes |
lundi 10 septembre 2018. | |
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Compte-rendu de Blandine Réveil au son des trompettes qui n’en finissent plus de claironner puis petit déjeuner un peu précipité car nous n’avons qu’une demi-heure seulement pour l’apprécier. En fin de compte, nous attendons notre guide une demi-heure sur le parking puis, après nous être chaussés correctement, nous avons effectué notre première balade : le massif des Tuffes, 250 m de dénivelé. Le guide s’arrête souvent pour attendre ceux qui montent plus lentement et en profite pour nous informer sur l’environnement, la géographie très complexe entre la France et la Suisse, les coutumes locales, l’histoire. Repas au chalet et à 14h00, départ pour notre deuxième balade, toujours en partant du chalet. Nous sommes allés voir les bornes entre Suisse et France posées en 1863 suite au traité de 1862. Nous sommes revenus vers 16h00. Dédé est toujours là pour ouvrir ou fermer les pâtures. Nous ne sommes toujours pas déçus, ni par le paysage, ni par le soleil. Bruno, notre guide, continue à nous donner des informations intéressantes sur les lieux, il y a beaucoup de réserves naturelles. Après la douche, un petit tour à la piscine pour essayer, elle est bien froide pour moi mais dans le jacouzie, dos au soleil, c’est supportable. Puis l’incontournable apéritif au champagne sur le balcon du président, Gérald, avant le repas du soir cuisiné maison, copieux juste ce qu’il faut, et bon. Le soir, nous retournons dans la chambre au calme, Francis pour son ordinateur et ses photos, et moi avec un livre jusqu’à ce que le sommeil me prenne. |
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Compte-rendu de Francis Mon réveil matin a repris du service. Je vais voir dans le camping car si tout va bien, en attendant le petit déjeuner. A 8h30, nous faisons la connaissance de notre guide. C’est un ancien agriculteur reconverti au tourisme. Sympa. Aujourd’hui, il nous teste, alors nous partons de l’hôtel à pied pour monter la montagne d’en face. Le mont des Tuffes culmine à 1418 m, soit 200 m au dessus du chalet. Ça grimpe raide. Nous suivons le tracé d’une piste de ski alpin, puis un sentier de montagne. Colchiques, gentianes bleues, carlines et quelques champignons égaient la montée. Les prendre en photo ou simplement les regarder sont autant d’occasions de souffler. La redescente est tout aussi difficile : c’est la première rando en montagne depuis le Népal … Nous prenons notre repas de midi au chalet avant de repartir l’après-midi. Nous montons un peu, profitons de la petite rando pour découvrir les bornes napoléoniennes datant de la fixation de la frontière franco-suisse de 1862. Bruno nous montre les ossements d’une biche sans doute victime d’une meute de loups. Nous montons un peu, moins que ce matin et revenons au chalet. Douche, piscine en attendant 18h30, heure où nous nous retrouvons sur la terrasse pour prendre le champagne et entendre les consignes sur le lendemain. Ensuite, nous prenons le repas et c’est la soirée. Chacun vaque à ses occupations favorites avant de chercher le sommeil réparateur. |
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