Sur les crêtes du Haut-Jura. La dent de Vaulion |
mercredi 12 septembre 2018. |
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Compte-rendu de Blandine Réveil, petit déjeuner et horaire de départ comme d’habitude. Pour la marche du matin, tout le monde se rend en voiture à un parking où on laisse des marcheurs du groupe 2 qui prennent la rando en cours de montée. Nous nous rendons ensuite au bord du lac de Joux. Vue magnifique pour le groupe 1 qui fait la montée intégrale. Jusqu’au parking où nous avons laissé le groupe 2, la montée se fait en escalier, sans problème pour moi. Par la suite, c’est plus dur car cela monte tout le temps et j’ai du mal à reprendre mon souffle. Je jette finalement l’éponge en arrivant au restaurant de la dent de Vaulion où nous devons manger. Là, des amis m’offrent un coup à boire et nous attendons ceux qui ont poursuivi courageusement la marche pour parvenir au sommet et observer de beaux paysages. Ensuite, tout le monde se retrouve, le groupe 1, le groupe 2 et ceux qui sont montés en voiture, et nous dégustons une délicieuse fondue savoyarde, bien onctueuse, bien remplie et une coupe de fruits bien fraîche. Bruno, notre guide, a négocié ce repas avec son copain suisse, le cuisinier. Avec Francis, nous avons vite mangé notre dessert, pas pris de café et il a accepté de m’accompagner au sommet de la Dent de Vaulion. La vue est magnifique. Deux lacs, le lac de Joux et un autre, plus petit, à côté. Le temps est splendide mais les Alpes sont dans la brume. De l’autre côté trône le Mont d’Or. |
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Ce n'est pas une barre de Toblerone, mais un dispositif anti-char. Qui a copié la forme sur l'autre ? Dispositif pour récupérer l'eau en montagne Collection de clarines |
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A 14h45, nous entamons la descente, parfois à travers les alpages, parfois en suivant la route tracée. Nous sommes en Suisse, dans une zone de réserve naturelle où la chasse est interdite. Bruno s’arrête de temps à autre pour attendre tout le monde, pour raconter des histoires de Suisses, des histoires personnelles ou donner des informations concernant la vie locale. La descente s’effectue sans encombres, assez rapidement. Nous reprenons les voitures pour allez boire un coup à la Cure, mais la serveuse vient de partir et le patron ne sert pas …. Sans se décourager, nous continuons jusqu’aux Rousses. Nous ne retrouvons pas les autres mais cela ne nous empêche pas d’aller dans un bar. Le groupe s’est bien disloqué car nous y retrouvons d’autres membres. Retour près de l’hôtel pour l’apéro, comme tous les jours, sur le parking en face du chalet. Ensuite, le repas est toujours aussi copieux et bon, puis retour dans la chambre au calme et lecture. |
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Compte-rendu de Francis Aujourd’hui, nous partons en voiture jusqu’à Joux. Un groupe part d’un parking à mi-pente et les autres redescendent au bord du lac pour faire l’ascension compète de la dent de Vaulion (dénivelé d’environ 500 m). La montée est difficile mais agréable. Bruno nous aménage des poses pour attendre les derniers, au grand dam des premiers pour qui ça ne va jamais assez vite. Ils ont dû confondre vacances et entraînement de commandos (:-) … Bref, nous arrivons au sommet sains et saufs. Les premiers ont le privilège de contempler le paysage dix minutes de plus que les derniers … En tout cas, c’est splendide. Ça valait la peine de monter les 480 m pour voir ce paysage qui s’étend sur 360°. Ensuite, nous allons au chalet juste sous le sommet pour manger une fondue. Pas terrible pour remarcher l’après-midi, mais qu’est-ce que c’est bon ! L’après-midi est donc consacrée à la redescente sur les rives du lac de Joux. Descente sympa par un chemin différent du matin. Le soir, après l’apéro sur le parking des camping-cars, nous avons notre repas : une boite chaude accompagnée de Savagnin, un régal, même si c’est un peu dommage que cela tombe le même jour que la raclette suisse. |
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