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Descente de la Loire nivernaise |
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Après notre voyage « galère » dans le Sud marocain organisé à prix d’or par un amateur peu éclairé, vantant les mérites de guides autochtones vraiment pas à la hauteur, il paraissait naturel de changer de décor. Alors, galère pour galère, pourquoi pas ramer ? Nous avons donc décidé d’organiser nous-mêmes une descente de la Loire en canoë. Il fallait d’abord trouver des copains prêts à s’engager dans une aventure avec moi : c’est que j’en ai refroidi quelques uns, avec notre dernière méharée ! Au départ, nous devions être sept, ce qui est bien pour mes deux canoës deux places et mon canoë monoplace : il restera du monde pour les navettes. Et puis, par un prompt défaut, nous n’étions plus que cinq en arrivant au bord de l’eau. Donc les deux C2 suffiront. Et encore, avec ma petite escapade aux urgences de Vichy, je suis désigné d’office pour les navettes … L A moi, les attentes interminables au bord de l’eau, à regarder le courant. |
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