Siringe | ||
Samedi 25 février. Déjà le dernier jour ! Le programme ne prévoit pas de vieilles pierres aujourd’hui mais on ne peut pas subir un sevrage aussi brutal, alors nous refaisons un détour par le quartier de la mosquée d’Isa Bey. Un dernier coup d’œil à la colonne du temple d’Artémis, perdu dans ses broussailles et sur des thermes très anciens. Certains d’entre nous partent visiter la basilique Saint-Jean, sans notre guide, petit plus hors programme. |
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Et puis nous partons vers le magasin de cuir. Un beau défilé de mode où trois d’entre nous participent. Beaucoup craquent. Il est vrai que les cuirs sont particulièrement beaux mais il faut être riche pour se payer la peau d’Ephèse … J J (promis, j’arrête !) Nous allons ensuite sur le marché de Selçük. Fruits, légumes, épices, fringues, scènes de vie… le vrai marché, celui pour les Turcs. Les gens sont vraiment sympas. Bien sûr, quand ils s’aperçoivent que nous sommes Français, nous comprenons bien qu’ils nous parlent de Sarkozy, mais nous comprenons aussi qu’aucun d’entre eux ne nous en veut de la conduite de notre petit président. Avant de reprendre le bus, le guide nous fait goûter une spécialité du pays, la pidé. C’est une sorte de pâte fine, façon pizza, avec une garniture dessus. On peut même en la manger sucrée, quand elle est faite à base de crème de sésame. |
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L’après-midi est consacré à la visite de Siringe, petit village perdu dans la montagne. C’est touristique, mais les gens sont, comme partout ici, très sympas. Aucun ne harcèle le touriste. On se retrouve tous dans un petit café à goûter le vin accompagné d’olives et de pain fourré aux épinards, offert par l’une d’entre nous. L’ambiance est excellente, on chante en français et en turc (pas de traduction SVP …) et c’est le retour vers l’hôtel pour la dernière nuit. Promis, on reviendra. |
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