26 novembre : On nous mène en bateau | ||
Ayant oublié de prendre l’adresse d’un copain, j’apprécie beaucoup l’accès gratuit à internet. Départ de l’hôtel à l’heure, ça s’améliore. En route, nous nous arrêtons pour un car qui est en panne (problème de durite qui fuit). Notre chauffeur arrive à dépanner mais, pour plus de sûreté, les passagers sont répartis dans les trois cars qui se sont arrêtés, puisque tout le monde va au même endroit, le car dépanné suivant les autres à vide. Aujourd’hui, nouvelle balade en bateau, sur un fleuve cette fois. Après avoir admiré les tombes rupestres de Cauna depuis le fleuve, nous entrons dans un lagune envahie pas les roseaux, là où la rivière se jette dans la mer. Nous avons la chance d’apercevoir une tortue Careta Careta mesurant environ 70 cm. Nous observons aussi quelques oiseaux : des busards des roseaux, des aigrettes, sans doute des grèbes castagneux, un martin pêcheur et un rapace qui m’est inconnu. Je n'aurai pas alourdi ma valise avec mes jumelles pour rien ! A une dizaine de mètres de nous, un rapace s'envole, un crabe bleu dans les serres. |
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Après une promenade à pied le long de la plage, nous retrouvons le bateau où nous dégustons un crabe bleu (en cuisant, il est devenu rouge, on ne se refait pas), un verre de raki* à la main. Le temps est superbe mais personne ne s’est baigné, pourtant l’eau était à 20°. (* : Le raki, évidemment, c'est un geste culturel : on ne peut pas aller dans un pays sans se plier aux coutumes locales, quand même !) |
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L’après-midi est de nouveau moins drôle : quatre heures de route en direction d’Ephèse. Nous retrouvons l’hôtel Sea Light qui nous avait déjà hébergés en février dernier. A l’époque, nous avions été déçus par la chambre qui empestait le tabac (nous avions même été obligés de dormir la fenêtre ouverte). Cette fois-ci, il n’y a rien à dire. Dans le hall, la pianiste et son amie violoniste sont toujours là. | ||
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